Les faits marquants de la semaine
- Stabilité généralisée des échanges mais avec toute de même une baissedans le Gbêkè
MAIS - Vos analystes :KONAN Constance - KAKOU Mah - KOUADIO Kouamé Lazare
Carte des prix pratiqués en Côte
d’Ivoire au cours de la semaine en Francs CFA/kg
d’Ivoire au cours de la semaine en Francs CFA/kg
(Régions vertes : Prix bas ; régions rouges : prix élevés)
Unité
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Min
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Zone
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Max
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Zone
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Bord-champ
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F/kg
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50
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DENGUELE
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130
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ZANZAN
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Gros
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F/kg
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60
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Odienné
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150
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San-pédro
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Détail
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F/kg
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90
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Korhogo
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300
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Dimbokro,
Abengourou |
L’activité de commercialisation du maïs est stable en général sur l’ensemble du territoire. Seuls les districts du Denguélé et des Savanes détiennent encore d'importants stocks.
Le District des savanes demeure le fournisseur privilégié de maïs dont le taux d’humidité est recommandé. Dans cette zone, les prix n’ont pas varié. L’offre est en hausse aussi bien chez les
producteurs que chez les commerçants.
producteurs que chez les commerçants.
L’essentiel de la disponibilité continue d’approvisionner les autres régions du pays. Par contre les exportations ont fortement baissé(48 chargements de 40 tonnes cette semaine contre 59 la semaine dernière).
A Bouaké, l’activité commerciale est au ralenti, avec une baisse du niveau des stocks sur les marchés. En effet, la baisse des commandes des gros acheteurs (Agnibilekrou, Abidjan) et la lenteur des échanges au niveau d’Ivograin à Abidjan n’encourage pas les grossistes à effectuer des achats bord champs. Cette situation a provoqué la baisse des prix (bord champ et de gros).
A Odienné, la présence d’acheteurs venus d’Abidjan et d’Agnibilékro ranime les activité de commercialisation qui reste tout de même moins intense par le fait de l'absence des commerçants guinéens très actifs par le passé, avant l'avènement de la fièvre EBOLA.
A Bondoukou, les producteurs possédant encore des stocks font de la rétention, dans l'attente de prix plus rémunérateurs.
A Bouna, les récents approvisionnements ont relevé le niveau des stocks.
A Séguéla, les prix sont restés stables en dépit de la rareté des financements et celle des acheteurs qui s'orientent de plus en plus vers dans la commercialisation de la noix de cajou.
la campagne d’anacarde pourrait perturber la stabilité de la commercialisation du maïs.
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